LES SORCIERES DE SALEM
Le propre de la cruche c’est qu’elle se remplit avec toutes les niaiseries qu’elle trouve ! Pas besoin de réseau social pour ça ! On a pu voir des bouches d’égouts se délier, la parole de la vindicte, la parole de la déflagration de la frustration se déverser parce qu’un homme a dit sa liberté de penser… et ses choix de bandaison ! (voir mon article LA BANDAISON SINON LA PRISON) Sommes nous revenus au temps des sorcières de Salem ?
A pied à cheval à bicyclette vous n’aurez pas ma liberté de manifester de chanter de parler de dire s’écrire dire ce qui me plaît même si ça ne vous plaît pas ! De rire de ce qui ne vous plaît pas !
La tuerie de Charlie ne vous suffit pas ?
Dans le pays de Charlie où tuer un homme à coup de fusil dans le dos est devenu le symbole de la libération de la femme, il n’est pas étonnant qu’un homme soit vilipendé pour ses dires sur ses couilles qui ne bandent pas pour la ménagère de 50 ans !
Il est clair que le féminisme universaliste n’est pas rentré dans les mœurs ni sa liberté de penser ! Place au féministe d’occas celui qu’on sort quand on se sent mouché personnellement, ses bases dans les tripes de la vengeance…
Il est clair que dans le pays de Voltaire, aujourd’hui en plein marasme du triomphe de la niaiserie et du niveau zéro de la culture politique tic, il vaut mieux avoir la queue qui bande dans le bon sens de la maintenance de la bonne ambiance de cette charmante époque où le fric a tout tué jusqu’à l’esprit critique ! Un mot un geste de travers, la nouvelle meute de la bonne pensance te farcit le fion et t’ostracise sur la place publique !
Et attend attend, le mec il ne dit même pas s’il ose le clitoris, alors pour le coup, il est fini ! C’est la castration finale !
Je ne hurlerai pas avec la meute, plutôt être seule que mal accompagnée !