LA CULTURE DU RUT DES 343 SALAUDS
Texte écrit le 30 octobre 2013 suite à la parution de la gerbe des 343 salauds défendant, ah les têtes de nœud, la prostitution :
« Nous considérons que chacun a le droit de vendre librement ses charmes – et même d’aimer ça. Et nous refusons que des députés édictent des normes sur nos désirs et nos plaisirs. »
« Touches pas à ma pute » croasse le propriétaire des lieux ! Façon de dire je dispose du corps de l’autre comme je veux !
Z’ont tout compris des droits humains ceux-là, coincés dans leur culture du rut !
Patria oh patriarkk, t’as beaux jours devant toi !
Ainsi donc acheter quelqu’un est un plaisir, acheter vendre, client, proxénète, esclavagiste, même combat !
Ah charme moi le phallus ma cocotte et t’auras quelques billets ! Tout est dit !
Je présume que ces pères de famille proposent les universités du trottoir à leur charmante fille dans leur cursus scolaire pour les préparer à sucer des bites, on ne sait jamais,…savoir se vendre en toutes circonstances, vive le libéralisme mon enfant !