Comme le temps passe
et le crayon aussi… déjà 137 éléments dans ma catégorie « quelques échantillons de mes créations »…
et le crayon aussi… déjà 137 éléments dans ma catégorie « quelques échantillons de mes créations »…
Commencer la journée en musique
Gilbert bécaud
Guy Béart
Mon amant me délaisse O gai ! vive la rose ! Je ne sais pas pourquoi Vive la rose et le lilas ! Je ne sais pas pourquoi Vive la rose et le lilas Il va-t-en voir une autre, O gai ! vive la rose ! Qu’est plus riche que moi Vive la rose et le lilas ! Qu’est plus riche que moi Vive la rose et le lilas On dit qu’elle est plus belle, O gai vive la rose ! Je n’en disconviens pas ….. On dit qu’elle est malade o gai ! vive la rose ! Peut-être elle en mourra … Mais si elle meurt dimanche O gai ! vive la rose ! Lundi on l’enterrera … Mardi il r’viendra m’voir O gai ! vive la rose ! Mais je n’en voudrai pas Vive la rose et le lilas ! Mais je n’en voudrai pas Vive la rose et le lilas !
Georges Moustaky
Un pas, une pierre, un chemin qui chemine Un reste de racine, c’est un peu solitaire C’est un éclat de verre, c’est la vie, le soleil C’est la mort, le sommeil, c’est un piège entr’ouvert Un arbre millénaire, un noeud dans le bois C’est un chien qui aboie, c’est un oiseau dans l’air C’est un tronc qui pourrit, c’est la neige qui fond Le mystère profond, la promesse de vie C’est le souffle du vent au sommet des collines C’est une vieille ruine, le vide, le néant C’est la pluie qui jacasse, c’est l’averse qui verse Des torrents d’allégresse, ce sont les eaux de Mars C’est le pied qui avance, à pas sûr, à pas lent C’est la main qui se tend, c’est la pierre qu’on lance C’est un trou dans la terre, un chemin qui chemine Un reste de racine, c’est un peu solitaire C’est un oiseau dans l’air, un oiseau qui se pose Le jardin qu’on arrose, une source d’eau claire Une écharde, un clou, c’est la fièvre qui monte C’est un compte à bon compte, c’est un peu rien du tout Un poisson, un geste, comme du vif argent C’est tout ce qu’on attend, c’est tout ce qui nous reste C’est du bois, c’est un jour le bout du quai Un alcool trafiqué, le chemin le plus court C’est le cri d’un hibou, un corps ensommeillé La voiture rouillée, c’est la boue, c’est la boue Un pas, un pont, un crapaud qui coasse C’est un chaland qui passe, c’est un bel horizon C’est la saison des pluies, c’est la fonte des glaces Ce sont les eaux de mars, la promesse de vie Une pierre, un bâton, c’est Joseph et c’est Jacques Un serpent qui attaque, une entaille au talon Un pas, une pierre, un chemin qui chemine Un reste de racine, c’est un peu solitaire C’est l’hiver qui s’efface, la fin d’une saison C’est la neige qui fond, ce sont les eaux de mars La promesse de vie, le mystère profond Ce sont les eaux de mars dans ton coeur tout au fond de l’eau Un pas, une pierre, un chemin qui chemine Un reste de racine, c’est un peu solitaire
Merci pour vos 4000 passages hier … 1796 à l’aube de ce jour merci ! Prenez-soin de vous bises et love.
Examine trie fouille sonde chemine rature et expulse si tel est ton bon plaisir !
Ainsi donc dame écribavouilleuse s’est attelée à travailler deux romans revenus de leur correction le 9 juillet 2020… Or donc de bonne heure, souvent quatre heures du mat, depuis ce neuf, elle a levé le manche, les manches et les yeux sur ses écrits pour les peaufiner et s’arrêter dans ses après-midis !
Ô peau de crapiotte es-tu satisfaite maintenant ?
Après ce travail intense venu d’un besoin, une nécessité, en ligne directe de ses âges farouches ancestraux, dame travailleuse acharnée mais point décharnée va laisser dormir ses romans, quelques moments, puis les enverra en villégiature chez sa correctrice…
Mais point de relâche, son roman L’Eternelle a encore besoin d’elle !
Voilà c’était quelques nouvelles de votre petite et grosse abeille qui bat des ailes avec la frénésie d’un cœur en éveil…
Bz bz bz font les bisous !
de vos visites je vous dis merci ! Visites fictives visites réelles ? Visites virtuelles qui caressent mes mots… Mots de mon tout premier blog, quel était le titre ? Il y a eu celui où j’avais placé l’irrévérencieuse, puis je me souviens de Saperlipiplette, de Yakafoke, est ce qu’il était nommé ainsi, je ne me souviens plus, il y a eu Turbulences Véroniciennes… Puis un jour, j’ai décidé de ne plus fermer les portes et laisser courir mes écrits… Le million de visites est venu merci ! Va chemine va trottine le merci dû à votre fidélité ! Prenez soin de vous ! Bises et love !
Œuvre de l’artiste Yako Ma
C’est très égoïste de parler de son plaisir quand tant de malheurs parcourent le monde… Alors oui je suis égoïste ce matin ! J’avoue que j’ai pris du plaisir à voir revenir mes livres même s’il y a du travail encore à réaliser sur L’Eternelle…
J’avoue que j’ai ressenti de la satisfaction à donner mes deux derniers romans à corriger et que j’éprouve quelques jouissances à n’avoir qu’un écrit en route ! Bien sûr prendre son temps est une de mes devises, mais là je trouve cela plus cool de cheminer tranquillement à l’ombre de mes créations qui seront publiées aux heures qu’il faut !
Mais pourquoi je vous raconte tout cela, c’est vrai que c’est égoïste : moi, moi, moi, bla, bla bla…
Être plus sereine, j’ai même acquis de quoi ranger mes dessins pour une jolie présentation… Mais disons les choses comme elles sont : j’aimerais bien que tous mes livres soient publiés avant qu’il m’arrive quelque chose sur le coin du nez, on ne sait jamais avec tout ce qui circule : les bruits, les cris, les maladies et les Führers !
Image par Jill Wellington de Pixabay
Quand les fortes chaleurs embrasent l’air dans la journée, je dors avec les porte-fenêtres grandes ouvertes !…
L’air frais caresse mes pieds et les oiseaux caressent mes oreilles de leurs chants, il n’en faut pas plus pour que je me retrouve chez moi, dans la maison de mon enfance…
Une envie incompressible m’a tailladé le cerveau ( si si, il y en a un) rempli de mots jaillissants inopinément ! Vite un crayon !
Le jet a parlé, le jet est noté, ma légende (indispensable dans le genre choisi) va aller grandissante (pour mon nouveau roman Fantasy)…
Image par Devalei Love de Pixabay
Souvent nos textes peuvent faire redondance. C’est un trait que l’on retrouve chez plus d’un écrivant, noircir les pages de ces mots qui façonnent nos propos… Il en est ainsi comme des vendeurs à la criée : »Il est beau, il est frais mon poisson… » Il est vrai qu’à sortir toujours les mêmes propos, la fraîcheur n’est plus de mise… Il est donc de bon ton, de bon son de renouveler sa partition… C’est ce que je me suis dit ce matin, de bonne heure… Quant à mes romans, je ne pense point qu’ils fassent redondance, il y a de la diversité quoique, quand la plume sort de notre cerveau, c’est bien notre note personnelle qui claironne sous l’histoire inventée… Bonne journée portez vous bien… Hier j’ai fait ma première sortie masquée ; feutres et crayons de couleurs avaient besoin d’être renouvelés et du papier à acheter aussi, ça va de soi… Ce n’était point encore l’heure d’une transhumance, juste un tiot début de retour dans le monde extérieur… Bisous… Oui, je dessine pour mon nouveau roman fantasy… Se faire plaisir…
Image de JL G de Pixabay