Douce soirée
Avec ou sans fête ; nous ne vivons pas tous de la même manière et beaucoup sont dans la solitude… pensée à tous les démunis ! On se retrouve demain dans une nouvelle année ! Bises fraternelles…
Image Androïd Jones Google
Avec ou sans fête ; nous ne vivons pas tous de la même manière et beaucoup sont dans la solitude… pensée à tous les démunis ! On se retrouve demain dans une nouvelle année ! Bises fraternelles…
Image Androïd Jones Google
La douleur nous change-t-elle ? En bien ? En mal ? Sommes-nous fait d’un seul bloc ? Est ? Ouest ? Qui peut prétendre être, avoir été, même hiver automne et autre saison, sans apaisement sans nuage grillage larme amertume, avec de la colère des griefs des cris à fendre l’âme… Qui peut prétendre n’avoir jamais connu la haine ? La douleur rend-t-elle aveugle ? Sourd ? Brouille-t-elle le regard ? Le son ? A-t-on toujours le choix du chemin que l’on prend ? Peut-on sortir de sa case de victime ? Du cadre de : « C’est pas de ma faute mais celle de l’autre ? » Cet autre, l’autre le fautif ? Après avoir entonné des décennies et des décennies, dans la maison de Dieu : « C’est de ma faute c’est de ma faute, de ma très grande faute… », le doigt rythmant son dire montrant le fautif ?…
La tête courbée, le genou plié…
Assez assez sortir prendre d’assaut sa vie…
Mais sortir du cadre de toute soumission, et de toute isolation, et de protection pour survivre, n’est-ce pas ouvrir la porte vers une libération dangereuse, dangereuse pour qui ?
Gare gare ! Les intégristes de tout poil surveillent veillent à ce que le façonnage de nos conditionnements ne s’écaillent, que notre liberté ne s’éveille…
Qui juge qui donne le diplôme de bon ? Qui s’autorise le droit de juger nos émois nos peurs nos angoisses au nom de quelle transgression ? Qui donne l’agrément de notre droit de vivre sans l’effraction de notre « moi », de nos émois ?
La plupart du temps, le commun des mortels passe son chemin, il ne demande rien et s’il en vient à revendiquer auprès de certains, c’est que ces certains ont prit dans leurs mains le suffrage universel avec le siège de député de maire de sénateur de président de la république pour le représenter mais aucunement le droit de le détourner de le violer de s’attribuer des droits qu’ils n’ont pas…
Bien assis dans l’or de la République, ils grossissent leurs prétentions de seigneurs à vivre dans l’opulence de leurs mérites ! Mérites ?
Trahir le peuple n’est point inscrit dans la constitution… Et là, le commun des mortels se prend le droit de dire stop et trahir le peuple : c’est aussi trahir son pays… Ce que les puissants font en toute impunité !
Les puissants jugent écrasent formatent violent, lois droits sans une once de pitié, les yeux dans les yeux, aucun miroir ne leur fait peur : ils sont de droit divin, d’une espèce supérieure et croassent chaque jour dédain refrain pour faire plier la populace, cette crasse osant se poser sur l’échiquier de la vie pour une autre place que celle du pion ! Holà manant pan ! Holà manifestant pan ! Holà résistant pan ! Que de bagnes mis en place pour toi populace depuis la nuit des temps… Fi de la révolte ! Jusqu’à faire la chasse à l’enfant et les envoyer dans des camps rangeant âme et conscience dans le tiroir à billet, car leur seul combustible c’est le capital !
On est toujours seul avec soi-même et quelque soit la douleur on est seul à la vivre… Personne ne peut la vivre à notre place…
La douleur engendre-t-elle du meilleur ? Je n’ai pas de réponse, chacun même sa vie comme il l’entend dans le respect de la liberté de son prochain, le respect de la souffrance de l’autre… !
La liberté est le ciment de notre société et il s’avère que nos droits se sont restreints comme peau de chagrin… Se prendre en main quand on interdit à l’homme de penser à sa pomme, de penser par lui-même n’est pas un chemin facile, mais on ne se perd pas à chercher son chemin, notre conscience nous appartient…
Se comprendre, est le chemin de la fraternité…
Il faut voir depuis trois semaines comment les puissants de France et leurs valets médiatiques brisent un mouvement dangereux pour leurs privilèges ! Égalité ? La vie, la détresse, la souffrance du commun des mortels, ils ne l’entendent pas enrubannés dans l’ armure de leurs armoiries : la bonne pensance, la bonne souveraineté !
En ce jour de Noël, la fraternité sortira-t-elle du berceau du Christ ? Même la crèche, ils s’en servent pour leur idéologie…
Je mets une phrase ici qui est dans l’introduction de mon dixième roman : « Il n’y a de paix que dans l’universalisme du combat pour la liberté. »
Que la paix soit avec nous…
De bonne heure, est-ce la bonne heure, j’ai jeté un œil sur mes dossiers où sont rangés mes écrits quand l’autre à moitié endormi m’a dit plein de sommeil : « Du boulot t’attend certes, mais on peut encore se lover un peu dans cette nuit à finir »…
je t’offrirai des fleurs, à deux mains je t’offrirai mon cœur, demain encore… enrubanné dans ce baiser de nuit pour un voyage au paradis… La lueur de nos ardeurs annonce une douce nuit ! Ainsi soit-elle !
Miss taxée
Miss révoltée
Miss sacrifiée
Miss oubliée
Miss désinformée
Miss censurée
Miss flashballisée
Miss défigurée
Miss fierté
Miss France
Photo Pixabay