OCTOBRE MOROSE
Il court il court le pognon, toujours dans les mêmes bourses : le prix du gaz va augmenter pour suivre les cours du marché ! M’enfin faisons l’école buissonnière !
Il court il court le pognon, toujours dans les mêmes bourses : le prix du gaz va augmenter pour suivre les cours du marché ! M’enfin faisons l’école buissonnière !
Couverte des pieds à la tête ou à poil… sur le chemin de la liberté, les sentiers et les ronces c’est pour toi, fille !
Le fardeau qu’on lui impose est dur à extraire de la chape de plomb installée dès le berceau…
Existe-t-il une « mode » égalitaire en cette terre ?
La laïcité programmée en cette rentrée ?
Les arriérés font de la résistance, faudrait pas que ces tiotes se révolutionnent… Quand on pense que le pantalon a été interdit de nombreuses années ! Où va se nicher la liberté ? Même le foot ! Il y a un bourrin qui a dit à une arbitre que la place de la femme est à la cuisine ! Combien de siècles pour que tous les bourrins de la terre sortent de leur préhistoire ?
Ces signes qui prouvent que je ne suis pas addict à la main-mise des puissants sur mon cerveau ? Est-ce c’est parce je ne suis pas le cul fourré (en bonne dinde sourire) sur mon canapé à zieuter la daube en boîte qui n’a plus de redevance, est-ce que c’est parce que je fouine dans de nombreux journaux, ne me contentant pas d’une source unique, comme ceux qui votent à 99% pour le gourou de leur parti et ne lisent que la presse de leur chef, est-ce aussi parce que j’aime discuter, échanger car rien ne vaut la confrontation des idées pour maintenir son esprit critique… se remettre en cause… Mon courant de pensée serait-il loin des standards de ce qui se véhicule par ci par là ? La bête a vieilli mais reste une indécrottable veilleuse de la liberté d’expression collée à la liberté de penser avec leur sœur : la laïcité que nombres de petits dictateurs attaquent continuellement pour imposer leur dogme moyenâgeux !
Charles III ne viendra point chez moi, oui la France c’est chez moua, j’en suis toute congestionnée, olé et contrariée ! Comme ça va manquer et surtout les déclamations journalistiques astiquant ce lustre illuminant notre belle nation…
Le nez au dessus de cette immense mascarade, de ce tsunami de mièvrerie de lècherie en tout genre, vitrines comprises, dans ce monde de tartuferie, de manipulation, je veux te humer ma liberté chérie ! Oui je vous les souhaite douces, ces fêtes de fin d’année, même si je ne suis dupe de rien, avec un clin d’œil ironique, de l’humour toujours de l’humour, il n’en demeure pas moins que ce moment de bonheur parce qu’on est avec les siens (pour ceux qui ont la chance d’être en famille voire entre amis), n’est pas encore sous barbelés… Quoique me diront les extrémistes de l’extrémité… La vie est un combat, chaque jour est un défi, un déni pour d’autres, la liberté cette oxygène bientôt sous cellophane ?