Ma chère maman me disait : « On ne fait pas d’une âne un cheval de course ! Comme un vieux con ça a été un jeune con ! »
Ma maman avait souvent son nez plongé dans le Canard Enchainé et j’admirais sa capacité à en comprendre les articles, elle avait une sacrée mémoire et c’est elle qui me racontait ceux qui se donnaient une virginité politique alors qu’ils avaient été dans des mouvements extrémistes… comme Madelin ! Tout ça pour dire (moi qui aime beaucoup les ânes) que la connaissance s’acquière bien évidemment et que rien n’oblige personne – car personne n’a ni pistolet ni couteau sous la gorge – à rester dans l’ignorance… Et avancer la tête pleine doucement me renvoie au lièvre et à la tortue… Souvent langue chargeant aux pas de courses ne postillonne point son cocktail d’érudition…
Hier justement dans mon salon philosophique nous parlions éducation…
L’éducation des enfants n’est pas apparue tôt dans l’histoire des Hommes mais pour le savoir il faut se pencher dans nos livres d’ histoires ! Sans érudition pas de connaissances…
J’ai souvent cité Ariés et son excellent livre

L’Enfant et la vie familiale sous l’Ancien Régime de Philippe Ariès, publié en 1960, est une étude historique consacrée à l’évolution de la famille et de la place de l’enfant dans la société, principalement du Moyen Âge jusqu’à l’époque moderne ( Wikipédia)…
Pour ceux qui aiment plonger leur nez dans le savoir historique ! Je recommande !