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3 novembre 2020

Salade de fruits jolie jolie

Si pendant le confinement tu gardes la pêche, que tu te fends la poire en tirant tes marrons du feu sous ton teint de pêche, belle pomme, tu pourras dire que tu as la banane et même le melon !

Kiwi kiwi j’veux dire qui rit qui rit ?

Fruit mix over white background

Image Pixabay

 

ESSENCE CIEL

Classé dans : Tristesse — eructeuse @ 4 h 50 min

Il y a ceux qui dès le matin vont chercher journal et pain, vont sortir le chien, faire leur promenade…Tic tac tic tac la vie est un mouvement perpétuel… Tout le monde n’a pas le métro, ni de boulot, quant au dodo chacun a ses heures… Qu’on soit jeune ou vieux, actifs ou retraités, parents etc nos essentiels font parties de nos vies…

Chacun dès l’aube a son essentiel : lui qui se glisse dans ses charentaises relit le journal de la veille avec un bon café brûlant, l’autre tire déjà sur sa clope ; elle, elle déguste son chocolat, l’autre tartine de beurre sa tranche de pain croustillant qui a sauté du grille-pain, moi c’est mon café au lait… Il y a des tas d’essentiels tout le long d’une journée… Le bonjour échangé avec un voisin, avec le facteur, le câlin à son chien, la petite conversation à ses plantes pendant l’arrosage…

Quand on a de quoi se vêtir se nourrir et qu’on vit dans un certain confort entourés de ses livres et de ses musiques, et des gadgets derniers cris, dans des apparts super bio, qu’on part en vacances à Noël à Pâques et à la saint glinglin,  aller aux concerts, au cinéma, au théâtre, à l’Opéra, aller chez le coiffeur, aller au restaurant, aller s’acheter des livres comme on veut quand on veut, faire sa partie de golf, aller dans des boutiques de marques, ce n’est ni du luxe ni des essentiels vitaux, juste un style de vie, un quotidien quoi ! C’est lorsqu’on les supprime qu’on se rend compte alors qu’ils étaient essentiels… Pour celui qui vit de ses deux sous trois cailloux l’essentiel tient dans son assiette et s’il ne peut plus bosser ça va vite mal finir… S’il est normal de s’enrichir culturellement qu’en est-il de ceux qui sont exclus de ce train de vie ? Bah en micheline les chéris, avec la troisième classe, les restau du cœur, Emmaüs, France Loisirs, les campings, le foot, les catalogues de vêtements, les parcs de loisirs, les colonies, la restauration rapide… les comédies musicales à l’eau de rose, au théâtre ce soir, la télé-réalité et les Chevaliers du fiel !! On n’est pas tous égaux sur le chemin des Essentiels, et le premier confinement a montré que la misère s’est amplifiée… Si la médecine a deux vitesses, la culture aussi ! Qui se préoccupe de ceux qui ne vont jamais au cinéma au restaurant chez le coiffeur, ne vont jamais en vacances faute d’argent ? Les inégalités explosent et se voient encore plus ! ! Chut chut !

Tout le monde a le droit de vivre de son travail c’est clair, et on peut comprendre que les petits commerces avec ce deuxième confinement craignent de mettre la clef sous la porte…

C’est clair que ça va être la panade pour les commerçants ! Le rayon misère va s’agrandir, celui là il n’est pas prêt d’être fermé !

DAVID AGENJO

Classé dans : Art, vie et avis — eructeuse @ 3 h 21 min

david agenjo2

MAGNIFIQUE

ANTHONY CORTES MARIANNE.FR

Classé dans : Art, vie et avis — eructeuse @ 3 h 08 min

Entre provocations, renoncements et débats, l’inégal hommage rendu à Samuel Paty

Dans les classes

Par Anthony Cortes

Publié le 02/11/2020 à 20:06

Après avoir présenté l’hommage à Samuel Paty, enseignant assassiné le 16 octobre 2020, comme facultatif, le lycée Léon-Blum du Creusot (Saone-et-Loire) s’est finalement ravisé sous la pression médiatique mais aussi pour éviter certaines tensions, notamment communautaires.

L’hommage à Samuel Paty, facultatif ? Au lycée polyvalent Léon-Blum du Creusot (Saône-et-Loire), la cérémonie dédiée à cet enseignant décapité le 16 octobre 2020 pour un cours sur la liberté d’expression à partir de caricatures de Mahomet, a bien failli n’être qu’une option pour qui veut. En cause : les consignes du proviseur de l’établissement, Marc Aubert, transmises par mail aux élèves et aux parents le vendredi 30 octobre. Dans ce mail, envoyé tardivement, à 21 heures 39, aux élèves et à leurs parents, il précise les détails de cette rentrée un peu particulière. Comme partout ailleurs, « une minute de silence se tiendra à 11 heures » écrit-il, donnant rendez-vous dans la « grande cour » de l’établissement. Du moins pour qui ne se sentira pas offensé par cet hommage solennel. En effet, le principal poursuit : « Les élèves ne souhaitant pas s’y associer pourront prendre un temps de pause dans la cour haute vers les ateliers avant le retour en classe ».

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En 2015, des élèves dispensés

Contacté immédiatement après le premier mail par « une bonne partie de l’équipe enseignante » lui faisant part de quelques « observations » et de leur désaccord, mais aussi sermonné par le rectorat, lui-même alerté par le Snalc (syndicat du secondaire), le principal fera finalement volte-face le lendemain, à 18 heures 28. Dans un autre mail, cette fois à l’attention des « responsables des élèves et étudiants », le chef de l’établissement indique alors que « le ministère rappelle le caractère obligatoire de la participation à l’hommage prévu le lundi 2 novembre ». Aucun élève ne pourra donc se dérober.

Capturedecran2020-11-02a13.19.15 dans Art, vie et avis

Pour expliquer ce « cafouillage », Marc Aubert, joint par Marianne, souligne le caractère « peu explicite » des consignes ministérielles sur le « caractère obligatoire de l’hommage ». « On nous a indiqué, plus tôt dans la journée, que les établissements pouvaient décider seuls de leur organisation locale, se souvient-il. En l’absence de note de service claire, j’ai décidé de reprendre la même organisation qu’en 2015, à la suite des attentats de Charlie Hebdo ». Et de préciser : « À cette époque, nous avions permis à ceux qui ne voulaient pas assister à ce moment de ne pas le faire ».

Préserver la communauté turque ?

Selon Maxime Reppert, président académique du Snalc, ces justifications ne sont qu’« hypocrisie ». « S’il n’y avait pas eu de pression médiatique, il n’aurait jamais reculé », estime-t-il, évoquant la culture du « Pas de vague ». C’est lui qui a averti le rectorat, par voie de mail, sans obtenir de réponse, alerté par des enseignants « choqués ». « Il va de soi que, si cette consigne était appliquée, cela serait un coup très puissant porté à notre République », ajoute-t-il.

Pour sa défense, Marc Aubert jure avoir voulu bien faire, notamment pour « préserver la sincérité et sérénité » de la cérémonie, promet-il. Interrogés par Marianne, plusieurs professeurs ulcérés par cette première décision avancent, sous couvert d’anonymat, une explication : une volonté de ne pas trop « bousculer » la communauté turque du Creusot, très présente dans cette ville, dont certains membres se sont distingués récemment en participant au rassemblement « anti-Arménie » de Dijon le 29 octobre dernier. « Si cet établissement travaille bien nous savons aussi que ce terrain est miné, glisse un professeur. Certains représentants de parents d’élèves le savent bien et ont pu faire pression pour éviter toute tension ».

Contactée, la Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE) locale conteste. Selon Karine Boussard, représentante de la section du lycée, cette première consigne n’est qu’une « maladresse » de la direction. Grégoire Ensel, président de la fédération de Saône-et-Loire, défend également le principal, grâce à qui « le dialogue est très bon entre les parents que nous représentons et cette direction ». « Nous ne jetons pas la pierre au principal, au contraire, il est aussi victime des injonctions contradictoires du gouvernement ».

Interrogé sur cet éventuel risque provenant de la communauté turque, Ensel tient seulement à souligner le « travail de fond » mené par les équipes pédagogiques pour s’assurer que « tout le monde vive bien ensemble », « pour intégrer et permettre à chacun d’avancer ». « Beaucoup de chefs d’établissements ont vécu comme un traumatisme les troubles observés en 2015 lors des hommages rendus, avance-t-il. Le lycée Léon-Blum est un établissement qui cherche à avancer. Et on avance que par la discussion… ».

«  »Ce qui a été fait n’a pas été pensé pour une communauté donnée »

Le principal rebondit : « Ce qui a été fait n’a pas été pensé pour une communauté donnée. Il s’agissait seulement de préserver un certain calme à l’occasion d’un rassemblement de masse avec plus de 1.000 élèves. Et nous le savons, l’anonymat des participants, perdus dans une telle foule, peut générer certains troubles ».

D’autant que cet établissement a souvent été agité par le passé. Dorine*, mère de deux filles scolarisées à Léon-Blum, se souvient de l’année 2018-2019 où « 45 conseils de discipline » se sont tenus après des dégradations multiples et l’agression d’un professeur. Au total, 28 élèves ont été exclus sur l’année. « La situation s’est réglée par la fermeté et depuis c’est plutôt calme : les postes de CPE ont été maintenus, des caméras ont été installées et un sens de circulation dans les couloirs a été réalisé pour éviter que des élèves y stationnent pour y faire n’importe quoi. Mais c’est un calme qui peut sauter à tout moment, témoigne-t-elle. À l’époque, on disait à nos filles de ne pas traîner dans les couloirs, les parents allaient tous chercher leurs enfants à la sortie pour éviter tout risque… Cette période, personne ne veut qu’elle revienne. C’est pourquoi il ne faut surtout pas braquer tel ou tel public ».

Malgré tout, cette journée d’hommage, ce lundi 2 novembre, s’est bien passée, nous dit-on. Il faut dire qu’un aréopage d’élus a fait le déplacement pour encadrer les élèves dans la salle d’activité du lycée : David Marti, maire du Creusot, Jérôme Drain et Fabien Genet, sénateurs locaux et Laëtitia Martinez, vice-présidente du Conseil régional de Bourgogne – Franche-Comté. « Tout le monde s’est déplacé en sachant très bien que ce moment était à risque, particulièrement chez nous, poursuit Dorine. Sans eux, 300 ou 400 enfants n’auraient pas respecté cette minute de silence. Par conviction ou par peur des représailles ».

AFIS SCIENCE

Classé dans : Art, vie et avis — eructeuse @ 2 h 58 min
L’Afis informe de la publication de ce texte intitulé « Premier manifeste mondial contre les pseudosciences en santé : contre les lois qui diffusent ces pratiques dangereuses en Europe ».Il a été lancé par des organisations et collectifs de plusieurs pays européens :

  • Association pour la protection des malades des thérapies pseudoscientifiques : APETP – Espagne
  • Association des pharmaciens en faveur des preuves scientifiques – Espagne
  • Collectif Fakemed – France
  • Comunidade Céptica Portuguesa : COMCEPT – Portugal
  • Good Thinking Society – Royaume-Uni
  • UNE rouge – Espagne
  • Société pour l’avancement de la pensée critique : ARP-SAPC – Espagne
  • Cercle sceptique d’Espagne – Espagne
  • Healthwatch Royaume-Uni
  • Skeptica – Danemark

Les objectifs mis en avant sont de :

  1. Rassembler un grand nombre de scientifiques et de professionnels de la santé qui précisent que ni le secteur scientifique ni le secteur de la santé ne soutiennent les pratiques qui sont en contradiction avec les preuves scientifiques.
  2. Sensibiliser les médias au problème des pseudothérapies et à la position de la communauté scientifique contre elles.
  3. Amener la lutte contre ces pratiques dans une arène mondiale, car nombre des lois et des problèmes qui affectent les patients en raison des pseudothérapies ont une portée plus large que les pays accueillant les associations de sceptiques.

Cet appel a été rendu public le 19 octobre 2020 avec 2750 premiers signataires issus de 44 pays.

L’Afis adhère à l’esprit de ce texte, en particulier dans la description des risques que représentent les pseudo-médecines et de leur absence de fondement scientifique. Elle ne l’a pas signé dans la mesure où ce manifeste va au-delà de « ce que dit la science » pour faire des recommandations de nature politique, ce qui ne rentre pas dans le positionnement de l’association. Mais plusieurs de ses membres l’ont signé à titre personnel.

Le texte de l’appel

(Contact : Fernando Cervera Rodríguez : fernando.cervera.87@gmail.com)

Ce n’est plus à prouver : les pseudosciences tuent. Pourtant leur pratique se fait en toute impunité grâce aux lois européennes qui les protègent.

Elles tuent des milliers de personnes, des personnes que nous pouvons nommer. Francesco Bonifazi, âgé de 7 ans, auquel son médecin a administré de l’homéopathie plutôt que des antibiotiques. Il est mort en Italie [1]. Mario Rodriguez, âgé de 21 ans, traité avec des vitamines pour son cancer. Il est mort en Espagne [2]. Jacqueline Alderslade, âgée de 55 ans, à laquelle l’homéopathe a dit d’arrêter ses traitements pour l’asthme. Elle est morte en Irlande [3]. Cameron Ayres, âgé de 6 mois, auquel ses parents ne voulaient pas donner de « médecine scientifique ». Il est mort en Angleterre [4]. Victoria Waymouth, âgée de 57 ans, qui s’est vu prescrire de l’homéopathie pour traiter des problèmes cardiaques. Elle est morte en France [5]. Sophia Balyaikina, âgée de 25 ans, qui avait un cancer curable par chimiothérapie, mais à laquelle a été recommandé un « traitement alternatif » fait de piqûres de moustiques. Elle est morte en Russie [6]. Erling Møllehave, 71 ans, son acupuncteur lui a percé le torse et le poumon avec une aiguille. Il est mort au Danemark [7]. Michaela Jakubczyk-Eckert, âgée de 40 ans, dont le thérapeute a recommandé la nouvelle médecine germanique pour traiter un cancer du sein. Elle est morte en Allemagne [8]. Sylvia Millecam, âgée de 45 ans, que sa guérisseuse New Age avait promis de guérir du cancer. Elle est morte en Hollande [9].

La directive européenne 2001/83/CE a permis – et permet toujours – de tromper quotidiennement des centaines de milliers de citoyens européens [10]. Il a été offert à de puissants lobbies de redéfinir ce qu’est un médicament, leur permettant de vendre du sucre à des personnes malades en leur faisant croire qu’il peut les guérir ou améliorer leur santé. Des malades en sont morts, et cela continuera jusqu’à ce que l’Europe admette une réalité indiscutable : les connaissances scientifiques ne peuvent se plier aux intérêts économiques de quelques-uns, surtout si cela implique de tromper les patients et de violer leurs droits.

L’Europe affronte d’autres problèmes de santé publique complexes. La médicalisation excessive de la population, l’apparition de bactéries multirésistantes ou les difficultés de financement des systèmes de santé publique sont déjà trop graves pour y ajouter des gourous, des faux médecins ou même des diplômés en médecine qui prétendent guérir le cancer (ou toute autre maladie) en manipulant des chakras, en avalant du sucre ou en appliquant des « fréquences quantiques ». L’Europe doit non seulement mettre fin à la promotion de l’homéopathie, mais aussi lutter activement contre les escroqueries sanitaires, qui impliquent plus de 150 pseudo-thérapies sévissant sur notre territoire. La vie de milliers de citoyens en dépend : selon des études récentes [11], 25,9 % des Européens ont eu recours à des pseudo-thérapies au cours de la dernière année, soit 192 millions de patients trompés.
Il se dit que l’éviction des pseudo-thérapies s’oppose à la liberté de chacun de choisir ses traitements médicaux, mais il n’en est rien. Selon l’article 25 de la Déclaration universelle des droits de l’homme, l’accès aux soins médicaux est un droit. Mentir aux malades pour leur vendre des produits inutiles et pouvant les tuer est une violation du droit des individus à recevoir des informations loyales sur leur santé. Ainsi, tout citoyen peut renoncer à un traitement médical à la condition qu’il ait été correctement informé, mais personne n’a le droit de lui mentir pour le détourner de soins efficaces et obtenir un gain financier aux dépens de sa vie. Autoriser le commerce de l’homéopathie – ou de toute autre pseudo-thérapie – n’est possible qu’en considérant qu’il est éthique de mentir à une personne malade aux seules fins de lui soutirer son argent.

Le danger des pseudosciences ne réside pas seulement dans le remplacement des traitements utiles par des traitements trompeurs. Il existe aussi un retard évident dans les soins efficaces chez tous les patients qui, à la phase initiale d’une maladie, reçoivent des produits frauduleux au lieu de médicaments. Quand ils finissent par recourir à la médecine, il est souvent trop tard. De surcroit, plusieurs de ces pratiques ont par elles-mêmes des effets indésirables graves, et peuvent blesser voire tuer.

De nombreux pseudo-thérapeutes soutiennent que les pratiques de « l’autre médecine », comme ils dénomment la médecine conventionnelle, ont également des effets secondaires, ce qui est vrai. Mais la nuance réside dans le fait que les pseudo-thérapies ne peuvent pas guérir ou améliorer une maladie, donc exposent le patient à un risque pour des promesses qui se révèlent trompeuses, comme le démontrent avec force les preuves scientifiques. Mentir à une personne malade n’est pas un autre type de médecine, c’est simplement mentir à une personne malade.
Chaque pays doit faire face au problème des pseudo-thérapies à sa manière. Cependant, il est inadmissible que les lois européennes protègent ce travestissement de la réalité scientifique, de sorte que des milliers de citoyens soient trompés, ou en meurent.

Ainsi, les signataires de ce manifeste affirment que :

  • Les connaissances scientifiques discréditent les postulats des pseudo-thérapies, dont l’homéopathie.
  • Les lois européennes qui protègent l’homéopathie sont inadmissibles dans une société scientifique et technologique qui promeut le droit des patients à ne pas être trompés.
  • L’homéopathie est la pseudo-thérapie la plus connue, mais elle n’est ni la seule ni la plus dangereuse. D’autres, telles que l’acupuncture, le reiki, la nouvelle médecine germanique, le biomagnétisme, l’iridologie, la thérapie orthomoléculaire, et bien d’autres encore, gagnent du terrain et ont aussi leurs victimes.
  • Il faut agir pour faire obstacle aux pseudo-thérapies, car elles ne sont pas fiables et attentent à l’intégrité de milliers de personnes.
  • L’Europe doit œuvrer à une législation pour mettre fin à ce problème.

Il n’est pas cohérent qu’en Europe, le phénomène de la désinformation suscite de plus en plus d’inquiétude, et qu’une de ses représentations les plus dangereuses soit protégée : la désinformation en matière de santé.

Pour toutes ces raisons, les personnes qui signent ce manifeste en appellent aux gouvernements des pays dont elles sont membres pour mettre fin à un problème qui contrefait le nom de la science et a déjà coûté la vie à trop de personnes.

Références

1 | “Homeopathy boy died of encephalitis”, Redazione ANSA, 2017.
2 | Emma Anderson, “Grieving dad sues over ‘cure cancer with vitamins’ therapy”, The local, 2016.
3 | “Asthmatic ‘told to give up drugs’”, The Irish News, 2001.
4 | “Homeopaths warn of further tragedies”, BBC News, 2000.
5 | “Alternative cure doctor suspended”, BBC News, 2007.
6 | “Футболист рассказал трагичную историю жены. Она умерла от рака в 25 лет” (Le footballeur a raconté l’histoire tragique de sa femme. Elle est décédée d’un cancer à 25 ans), Sport24, 2018.
7 | “Mand døde efter akupunktur – enke vil nu lægge sag an mod behandleren”, TV2, 2018.
8 | “The price of refusing science-based medical and surgical therapy in breast cancer”, Science Blogs, 2012.
9 | “Psychic ‘misled actress to hopeless cancer death’. Expatica, 2004.
10 | Directive 2001/83/EC of the European Parliament and of the Council of 6 November 2001.
11 | Kemppainen LM et al. “Use of complementary and alternative medicine in Europe : Health-related and sociodemographic determinants”, Scandinavian Journal of Public Health. 2018. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5989251/ ].


 

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