Dire les choses et faire son contraire est-ce une pratique courante propre à une nation ou tout simplement un trait génétique de l’espèce humaine ? Est-ce une pratique courante de ne pas voir plus loin que le bout de son nez, est-ce une pratique propre à une nation ou tout simplement un trait génétique de l’espèce humaine ? Quand je visionne des documentaires animaliers et que le discours véhiculé calque des sentiments et jugements humains sur les animaux comme ce pauvre lion assimilé à un assassin alors qu’il tue pour se nourrir… Le professionnalisme du narrateur relève plus de la fumisterie que de la connaissance animal ! « ANIMAL ! » crie-je à la Lambert !
Que ce soit en bas ou en haut de la pyramide, qu’il soit puissant ou ratatiné, l’homme a une propension considérable à arranger la réalité, exemples : Trump dont l’apartheid de son pays ne le gêne en rien, il mange à sa faim ; Macron vide la République Française de ses fondamentaux comme la séparation des pouvoirs, sans oublier le matraquage des Gilets Jaunes et de leur droit à manifester, digne d’une dictature qui ne dit pas son nom, les élites collées au cul de cette magnificence, pourquoi il se gênerait ça passe ; et le tiot ratatiné sous le poids des injustices, des mépris, des discriminations donne son vote qu’il croit contestataire à Marine Le Pen la valseuse dans les bras d’un SS à Vienne…
Ô et tous les puissants ont des discours qui vont changer le monde si si ils le disent ! Quelle est donc cette propension à croire les puissants ? Un abus de confiance ou une aptitude à marcher au pas ?
Qu’importe le questionnement pourvu qu’on est l’ivresse, les bars sont rouverts : sous les parasols la vie est si sereine…