
le cas Camélia Jordana
Ça pleure ça pleure, le riche homme a perdu un pognon de dingue…
Quant aux salariés payés avec un lance-pierre, qu’ils pleurent qu’ils pleurent.
Faudra retrouver des salariés, c’est dingue c’est dingue.
Ben quoi, fallait bien licencier, le riche homme pleure son pognon de dingue parti, il pleure il pleure.
Et pour retrouver ce pognon de dingue de dingue.
Faudra bien encore et toujours payer les pauvres hommes avec le lance-pierre du jour d’après, oui pleure mon pauvre pleure.
Ben quoi, tu crois quoi, pauvre homme, que le riche homme va te payer un pognon de dingue.
Pauvre homme, tu crois que la solidarité existe, t’es dingue t’es dingue.
T’as une vue restreinte pauvre homme, tu pleures, pourquoi tu pleures ?
Pour que ton boss gagne un pognon de dingue, il faut bien que toi, tu bosses pour rien, mais comme un dingue !