Redondance et transhumance
Souvent nos textes peuvent faire redondance. C’est un trait que l’on retrouve chez plus d’un écrivant, noircir les pages de ces mots qui façonnent nos propos… Il en est ainsi comme des vendeurs à la criée : »Il est beau, il est frais mon poisson… » Il est vrai qu’à sortir toujours les mêmes propos, la fraîcheur n’est plus de mise… Il est donc de bon ton, de bon son de renouveler sa partition… C’est ce que je me suis dit ce matin, de bonne heure… Quant à mes romans, je ne pense point qu’ils fassent redondance, il y a de la diversité quoique, quand la plume sort de notre cerveau, c’est bien notre note personnelle qui claironne sous l’histoire inventée… Bonne journée portez vous bien… Hier j’ai fait ma première sortie masquée ; feutres et crayons de couleurs avaient besoin d’être renouvelés et du papier à acheter aussi, ça va de soi… Ce n’était point encore l’heure d’une transhumance, juste un tiot début de retour dans le monde extérieur… Bisous… Oui, je dessine pour mon nouveau roman fantasy… Se faire plaisir…
Image de JL G de Pixabay
Tu avais ton gilet?
Moi, hier, je suis sorti aussi avec le masque noir que j’ai reçu, mais à chaque déesse rencontrée, j’a juste précisé que je ne mords que tendrement! Na!
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Sourire !
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